18 avril 2020
Le poète évadé
A lire en écoutant la musique de Blade Runner
18 avril 2020
A lire en écoutant la musique de Blade Runner
5 avril 2020
Le présent était imprévisible et il le restera. Pourtant, tous les curseurs géopolitiques s’affolaient au point d’être au rouge carmin en 2019. Un peu partout autour de la Terre, les gouvernements sont conspués pour leur mauvaise gestion du bien commun et pour leur corruption. Ce mouvement planétaire de désobéissance se heurte à la violence policière, partout.
29 mars 2020
Le beau spectacle
L’Effondrement programmé
Le voilà
Il a mis sa couronne de deuil
Son voile de cauchemar
Il monte un cheval noir
D’où vient-il ce triste sire
Ce déchet de nos accomplissements
Enterrant sur son passage
Des multitudes
Des innocent.es
24 mars 2020
Encore un extrait contaminé. Quand je vous dis que c’est une véritable obsession. Après, tout ça n’est qu’une histoire de traitement. Pour mon personnage, c’était pas un problème, suffisait de penser : solution. Si cet extrait d’OR LA LOI – II rappelle quelque chose aux anciens, qu’ils me le fassent savoir.
11 mars 2020
La peinture sans les peintres aurait peu de chances d’exister. À Tours comme ailleurs s’expriment dans la lumière de leurs ateliers des artistes de toutes nationalités et de cultures souvent diverses, alors que dans nos rues parfois survoltées des populations vont et viennent, du travail à l’école, de leur maison aux spectacles, sans toujours savoir les talents qui œuvrent parfois juste à côté de chez elles.
5 février 2020
Mardi 28 août 2007
31 août 2019
AVERTISSEMENT
25 août 2019
Oui, un projet littéraire, parce qu’aujourd’hui beaucoup de choses fonctionnent sur le mode du projet. La recherche d’un boulot, l’écriture d’un scénario, un futur événement, une entreprise en gestation, une architecture d’avenir, j’en passe, tout est possible et vaguement probable, à tel point que les bureaux d’innovation sont remplis de projets inaccomplis.
9 juillet 2019
17 mars 2019
Je suis un être délabré
Ma bouche a oublié ton goût sucré
Dans ta demeure d’avant les murs ont perlé
D’une soif au regard décharné