Brouillon général par François DECK

Rencontrer un artiste, son art et sa pensée sont toujours une source d’enrichissement autant émotionnelle qu’intellectuelle. Chez François Deck, avec qui je partage le goût de l’édition faite à la maison, j’ai découvert une grande ville, Grenoble, qui à plein d’égards ressemble à Tours.

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« Given up » par LINKIN PARK

LINKIN PARK, un groupe dont j’avais tout oublié, j’m’en souviens maintenant, la bande son de Final Fantasy, déjà au top les gars, l’industrie de la musique vs celle des jeux, le star system ouvert au métal à grands coups de glaive psychédéliques, un chanteur plus rauque que le clair/obscur EMINEN, mais j’irais pas vous la faire à la In’Rock, j’le lis pas, j’en bats les c… de la prose zique journaleuse sauf les paroles, où là tu vois tout de suite à qui t’as affaire, si le son est raccord avec le chant, avec ce qu’il y a d’dans, avec les performeurs, comment ils t’envoient la sauce sur scène.

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Impressions mêlées

« REFRACTIONS » plus anciennes réunis en un seul post. Du « ménage », en quelque sorte, pour laisser de nouveau place à des propos plus actuels. Et puis, nous changeons aussi plus ou moins avec le temps.

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Bruno SAULAY et la GÉOCORPORALITÉ

Créateur en 1989 du concept de « géo-corporalité », Bruno SAULAY transmet par un cycle d’expériences un élargissement de la conscience, celle-ci passant par une matérialisation méthodique d’un vocabulaire plastique original qui évoque et invoque le spirituel dans l’art.

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Souvent…

Souvent, on lui prodiguait l’hospitalité, par tradition ou par générosité. Parce qu’il venait de loin, on lui posait moult questions. On voulait savoir ce qu’il y avait de l’autre côté du désert, personne n’en connaissant l’au-delà. Alors Eakin racontait les paysages, les villes, les inventions et les techniques ; il expliquait les coutumes, décrivait les parures, parlait de l’art et, pour captiver son auditoire, il brodait une histoire, la sienne, et mettait en scène décors et personnages, afin de rendre sa narration plus vivante.

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Al-Lāt, Manat et Uzza

En 1989, la sentence iranienne sur la personne de Salman Rushdie m’avait alerté, comme tant d’autres, sur les risques encourus par un écrivain dès lors que ses écrits dérangent un pouvoir ou une morale. J’ai lu, à la suite de l’attentat subi il y a quelques jours par Salman, des propos qui remettent à des places séparées l’occident et l’orient, lisant que le premier ne pouvait s’attendre ni à une compréhension passive et encore moins à une forme de colonisation intellectuelle par le second, encore faudrait-il qu’un roman ait une stratégie colonialiste.

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