1 mars 2019
3001 L’ODYSSÉE DE LA TERRE
L’AUTOROUTE
1 mars 2019
L’AUTOROUTE
1 mars 2019
LINKIN PARK, un groupe dont j’avais tout oublié, j’m’en souviens maintenant, la bande son de Final Fantasy, déjà au top les gars, l’industrie de la musique vs celle des jeux, le star system ouvert au métal à grands coups de glaive psychédéliques, un chanteur plus rauque que le clair/obscur EMINEN, mais j’irais pas vous la faire à la In’Rock, j’le lis pas, j’en bats les c… de la prose zique journaleuse sauf les paroles, où là tu vois tout de suite à qui t’as affaire, si le son est raccord avec le chant, avec ce qu’il y a d’dans, avec les performeurs, comment ils t’envoient la sauce sur scène.
16 février 2019
C’était en 1974, je crois, j’avais 14 ans et j’allais à l’école dans un collège de Birmingham. Filles et garçons, sur le revers de leurs blazers bleu marine, arboraient tous fièrement le badge d’Aladdin Sane, sur lequel le visage de Bowie est strié d’un éclair orange et bleu. Désormais pour moi, la musique avait un sens, un son et une émotion.
25 janvier 2019
Depuis que j’ai entendu Joy Division pour la première fois, je ne me suis jamais lassé de sa musique. Pour Transmission, écrite par Ian Curtis et enregistrée en 1979, à défaut d’une traduction mot à mot comme c’est trop souvent le cas vis-à-vis des paroles de chansons anglo-saxonnes, j’ai préféré en extraire le sens poétique par une interprétation personnelle.
26 octobre 2018
J’étais plutôt Beatles à l’adolescence parce que ma marraine m’avait offert le 45 tours de « Michelle » pour mes cinq ans en 1965. Ça date, mais je n’ai pas oublié, ni l’intention, ni l’objet, et moins encore cette mélodie fredonnant mon prénom au féminin.
11 mars 2018
Véhicule construit
Temps de paix
24 septembre 2017
10 mars 2017
Ils m’emmerdent avec leur printemps
Ces Poètes asservis
A jour fixe
Une fois l’an
Je préfère mon hiver
Combattre l’injustice
À grands coups d’artifices
Et par tous les temps
Dénoncer la guerre
8 février 2016
Ils arrivent de la terre par milliers
8 février 2016
Je passe… du peuple aux peuples, peuplés, dépeuplés, dans des baies de lumière, des vents de sable, des zéniths alanguis des passages hâtifs, ou désespérés, ou fi de l’orage humain, j’avance, mon peuple déployé, toi, ma sœur, seule, avec ton frère, ton époux, vers des havres gorgés, de promesses d’été…