Eakin & ILana chap. 97 à 103

LA MAGICIENNE

Dans ce dix-neuvième opus des aventures d’Eakin & Ilana, nous suivrons surtout Eakin à partir de son départ du monastère de « L’Homme dépêché par les Esprits de la Montagne », chez lequel il se sera remis de ses blessures durant l’ascension de l’Elbahra. 

Après avoir assisté à un concert d’Adama dans la cité de Nalasur, notre héros se dirigera vers le port où il croisera de façon fortuite la route d’Uldric, son ami comédien qu’il n’a pas vu depuis plusieurs années.

Apprenant que les fiançailles d’Ilana avec le roi Kristian, puis que sa liaison avec son cousin Endu ne sont que des rumeurs infondées, Eakin en émettra cependant de sérieux doutes.

Reprenant sa route, Eakin poussera la porte d’une taverne dans laquelle il rencontrera M. Diruité, un négociant prêt à le prendre à bord de son bateau pour lui faire traverser la Grande Mer. Soûl comme une givre, loin de trouver chez Diruité celui qui le ramènerait vers les Anciennes-Terres, Eakin se verra enchaîné au mât de misaine du Joli Rouge, une goélette truffée de pirates.

Découvrant chez son prisonnier une âme de poète, M. Diruité, en réalité le fameux capitaine Vogler en personne, fera libérer le jeune homme et lui offrira l’hospitalité.

Après moult verres de rhum à discuter dans le carré du capitaine, le Joli Rouge sera pris en chasse par deux bricks de guerre venus d’on ne sait où ni pourquoi.

Trop près des terres pour lui faire perdre du temps, et sans doute la vie, Vogler impose à Eakin de quitter le navire et de rejoindre la côte à la nage.

Mais je vous en ai déjà assez dit. Si vous voulez en savoir plus :

Lisez les aventures d’EAKIN & ILANA

 

Un roman de cape et d’épée dans la (presque) grande tradition du genre

***